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6 et 7 octobre —  L'Hameçon, LYON Retour en images... Des étudiant·es en 5e année, dans le cadre du parcours Cinesthesä de l'Esä, site de DUNKERQUE ont participé à la captation de la création musicale LES YEUX CLOS / Co création entre les PERCUSSIONS ET CLAVIERS de Lyon & l'ensemble OFFRANDES et à une 2e création : ZÈBRE / Création des PERCUSSIONS ET CLAVIERS de Lyon. Un workshop conduit par David Ayoun, artiste et professeur d'enseignement artistique, transmedia à l'Esä, site de Dunkerque. © David Ayoun © David Ayoun © David Ayoun © David Ayoun © David Ayoun

Jeudi 16 octobre à 17h30 — Esä; site de DUNKERQUE Performance et rencontre avec Lionel BÈGUE , chorégraphe & Amandine LIVET , scénographe — Tout public, entrée libre. Depuis 2022, chaque année, en octobre, durant les 10 jours précédant les vacances de la Toussaint, le festival Allure Folle fait vivre toute l’agglomération dunkerquoise au rythme de la danse. Organisé par la Communauté urbaine de Dunkerque et les professionnels du spectacle vivant de l’agglomération (réunis au sein du GPS Culture) en partenariat avec les communes, les structures associatives et un grand nombre de complices du territoire, Allure Folle célèbre la danse sous toutes ses formes, en tous lieux, avec l’ambition de faire découvrir aux habitants le meilleur de la création chorégraphique et les entraîner dans la danse. Du 10 au 19 octobre prochains, pour sa 3e édition, Allure Folle offre de multiples possibilités de vivre la danse, quels que soient votre âge, vos goûts, votre pratique - occasionnelle, amateur, professionnelle – ou non de la danse. Au programme : une trentaine de spectacles, bals, boums scénographiées, soirées dansantes, master-class, propositions participatives, initiations, projections etc.… à retrouver en salle, dans l’espace public et dans des lieux plus inattendus de notre territoire.

Jeudi 23 octobre 2025 à 12h — Esä, site de DUNKERQUE` De 12h à 12h15 : table communautaire, en réponse à l'exposition 15h30 : séminaire avec Art Refuge, Médecins du Monde et l'Esä 17h30 : VERNISSAGE © Art refuge LANCEMENT D'UNE COLLABORATION ENTRE ART REFUGE, MÉDECINS DU MONDE (MdM) ET : des personnes en déplacement (réfugié·es) dans la région de Dunkerque ; des étudiant·es en art et le personnel de l'École Supérieure d'Art | Dunkerque-Tourcoing, site de Dunkerque ; des travailleur·euses humanitaires et d'autres personnes locales. OBJECTIFS : Capturer de manière créative 24 heures de la vie de Dunkerque à partir de perspectives multiples, en utilisant les mêmes 24 motifs photographiques ; À une époque de polarisation croissante et de divisions sociétales, offrir une opportunité de photo démocratisante, indépendamment des circonstances des personnes - politiques, sociales, économiques, culturelles ; Développer une nouvelle relation entre Art Refuge, l'Esä et Médecins du Monde. PARTENAIRES : Aida Silvestri, Bobby Lloyd et Miriam Usiskin d'Art Refuge ; L'équipe de Médecins du Monde, Pauline Thévenot et Diane Leon ; Phoebe Dingwall, enseignante à l'Esä. © Art refuge ART REFUGE Art Refuge est une association caritative britannique fondée en 2006. Nous utilisons l'art et l'art-thérapie pour apporter un soutien vital en matière de santé mentale et de bien-être psychosocial aux personnes déplacées en raison de conflits, de persécutions, de la pauvreté et d'urgences climatiques, au Royaume-Uni, en Europe et dans le monde entier, en particulier dans le sud de l'Angleterre et le nord de la France, de part et d'autre de la Manche. En tant que projet mobile sans base physique, nous nous rendons là où se trouvent les personnes déplacées. Notre travail, qui tient compte des traumatismes, est mené conjointement par une équipe indépendante expérimentée d'art-thérapeutes agréés et par des artistes issus du milieu des réfugiés. Nous proposons des programmes à long terme, ainsi que des formations sur mesure et des activités de partage des compétences pour les travailleur·euses de première ligne. Nous participons également à des projets à court terme, à des événements publics de sensibilisation, à des expositions, à des conférences, à des collaborations interdisciplinaires et à des recherches. www.artrefuge.org.uk La plupart des personnes avec lesquelles nous travaillons sont originaires du Moyen-Orient, d'Asie centrale et d'Afrique du Nord et de l'Est et sont soit en déplacement dans la zone frontalière du nord de la France, soit en quête d'asile au Royaume-Uni et vivent dans des logements temporaires du ministère de l'intérieur (camps et hôtels). Nous aidons principalement les jeunes âgés de 18 à 25 ans, principalement des jeunes hommes non accompagnés et séparés de leur famille.

Dans le cadre de la carte blanche offerte à l'Esä, des Journées Européennes du Patrimoine et de Lille3000, la médiathèque Andrée Chedid propose de découvrir le travail artistique de deux étudiantes. Martina Echeverria (diplômée DNSEP 2025) et Chloé Chamard (5e année) travaillent autour de l'image photographique dans une dimension vernaculaire, populaire et mémorielle.Pour cette carte blanche de l'Esä (École supérieure d’art / Dunkerque – Tourcoing) à la Médiathèque Andrée Chedid, elles abordent le thème de la fête en interrogeant l'envers du décor.Après la fête, quels indices, quelles traces reste-t-il alors ? Du 6 septembre au 4 octobre à la médiathèque Andrée Chedid . Entrée libre. Tout public.

Parution de l’article co-écrit par Nathalie POISSON-COGEZ et avec Réjane SOURISSEAU : « Arts participatifs : des oeuvres en quête de reconnaissance  »  publié par The Conversation . Lien vers l'article Les œuvres artistiques participatives bouleversent la définition et la fabrique des œuvres. Ici, Totem (2021), de Nefeli Papadimouli, Projet Le Pont, Quartier de Wazemmes à Lille (Nord). Mickaël Seys, Author provided (no reuse) Extrait : " À la croisée de l’expérience esthétique et de l’engagement citoyen, les œuvres participatives, pour lesquelles des artistes professionnels et des personnes « non-artistes » créent ensemble au cœur des territoires, bousculent les codes. Porteuses d’ambitions fortes, reliant l’art et la vie quotidienne, ces démarches sont pourtant toujours en quête de reconnaissance, tant de la part des institutions que des mondes de l’art."

Vendredi 19 septembre à Tourcoing & lundi 22 septembre à Dunkerque — Site de TOURCOING 09h30 -  accueil 10h00 — Réunion plénière AMPHITHÉÂTRE  — Paroles d'accueil — Présentation de l'association des étudiants — Présentation de l'équipe, du programme de rentrée et des infos. Déjeuner  14h00  -Réunion  selon les classes avec les coordinateur·rices. 17h00  - Vernissage des expositions PEINDRE ENCORE , PEINDRE AUTREMENT et FIESTA JUNGLE   Site de DUNKERQUE 09h30 -  accueil 10h00 — réunion plénière dans le hall — paroles d'accueil, — présentation de l'équipe, du programme de rentrée et des infos. 11h30 : présentation du dispositif de prêt de vélos pour les étudiant·es de l'Esä, par la Communauté urbaine de Dunkerque : Recyclo par Khalil Bachiri, et présentation de l'association les Chrysalides (récup et don de matériel) Déjeuner libre 14h00  - réunion sectorielle selon les classes avec les coordinateur·rices. 16h00 - présentation de l'association des étudiant·es Bernadette , du Déambulateur , la récupérathèque de l'école et du collectif Les Escargots 17h00 - Vernissage de l'exposition HARD WORK

Inauguration le 19  septembre 2025  à 17 h Exposition visible du 19.09.25  au 03.10.25 Du lundi au samedi de 14 h à 18 h Galerie des Ursulines 36 rue des Ursulines, 59200 Tourcoing +33 (0)3 59 63 43 20 Stéphane Fauchille, Les oiseaux sont des cons , 2016, Huile sur toile 188 cm x 119 cm Quoi de plus compliqué en cette période troublée par les nombreux problèmes sociaux, économiques, politiques, écologiques, climatiques à travers le monde, que d’évoquer le thème de la fête ? Et pourtant, l’œuvre picturale de Stéphane Fauchille entre dans cette catégorie artistique déjà explorée au XVIe siècle par les grands maîtres de la peinture flamande tels que Brueghel l’ancien, Hans Bol ou David Teniers.  En effet, l’artiste nous convie ici à voyager dans des mondes délirants et atypiques, composés de jungles profondes et théâtralisées, pullulantes de détails. Dans ces mises en scènes hallucinantes et étranges, se côtoient de manière fortuite, de drôles d’indigènes fascinés par les technologies occidentales, des oiseaux de paradis jouant avec des petites machines / pièges, des couples primitifs nostalgiques du jardin d’Eden, les Beatles perdus dans la luxuriance tropicale et aux prises avec l’appétit d’un redoutable tigre, des lapins joueurs au milieu de boîtes de petits pois, des bébés monstres en quête d’amour, le tout agrémenté de champignons hallucinogènes et d’une multitude de plantes évoquant l’Amazonie en péril, rongée par la déforestation et surtout notre culture dominante.    Par cette grande liberté de pouvoir peindre tous types de sujets, Stéphane Fauchille fait preuve d’un humour grinçant. Transparaissent alors dans ses toiles, des narrations incertaines, brouillant ainsi les pistes et les itinéraires connus.  Véritables portes ouvertes vers d’autres mondes, elles nous autorisent à rire de tout, sans aucun complexe, au-delà des frontières culturelles et des cloisonnements idéologiques à l’instar d’un grand carnaval.  Ces univers visuels composites, faits d’images captées quotidiennement dans les médias, nous paraissent au premier abord séduisants par la richesse des couleurs pastellisées comme des friandises. Pourtant, Stéphane Fauchille nous plonge dans une fausse naïveté, un retour à notre propre enfance pour mieux nous piéger visuellement à travers une déroutante singularité stylistique et une séduction certaine par un savoir-faire indéniable, au point de nous inciter à nous perdre dans une esthétique totalement inclassable.  Ses œuvres oscillent constamment entre l’illustration kitsch et les grands décors de papiers peints du XVIIIe siècle.  Les toiles de Stéphane Fauchille nous proposent alors un total entrechoquement culturel à travers un joyeux bazar ! Il s’agit ici de goûter à cette savoureuse “Salsa” hautement épicée masquant l’amertume du monde, où les clichés recyclés se mélangent comme les ingrédients improbables d’un plat exotique. C’est bien cette confrontation des contraires qui nous évoque cette mélodie reggae de la chanteuse Nina Hagen aux accents tyroliens, agrémentée d’une touche de punk et d’une pincée de mélopée d’opéra. Éric Harasym Conservateur de bibliothèque, site de Tourcoing L’exposition Fiesta Jungle  est un événement Lille3000

Du 22 septembre au 15 octobre 2025 — Galerie Exutoire, Esä, site de DUNKERQUE Vernissage lundi 22 septembre à 17h Omari De Aguiar Neitzel, Iain Purves, Anselme Sargeni, Antoine Stragier, diplômé·es de l'Esä, site de Dunkerque et de The Margate School, en juin 2025. Ces quatre jeunes artistes ont obtenu leur diplôme avec les félicitations du jury en juin 2025, à Dunkerque, lors du 1er DNSEP (Diplôme National d'Expression Plastique valant grade de master) commun entre la promotion de the Margate School et de l'Esä, site de Dunkerque. Les étudiant·es anglais·es sont venu·es passer leur DNSEP dans l'école, avec un jury bilingue. Taux de réussite : 100%. Félicitations à toutes et tous. — Certaines de nos pratiques abordent et traitent du travail (institutionnel et individuel). Le travail acharné fait référence à quelque chose qui est laborieux, mais qui procure une certaine fierté une fois accompli (cela peut faire référence au diplôme, à vos recherches, à la création et à l'expérimentation, à tout ce que vous avez dû surmonter pour en arriver là)... Les choses ne sont pas faciles en ce moment, donc la partie « difficile » pourrait également concerner les difficultés auxquelles nous sommes confrontés et le fait de les affronter/de s'y tenir. L'art n'est pas toujours accommodant et agréable non plus, il peut soulever des questions/des avenirs/des réalités inconfortables... Melissa Ryke Coordinatrice pédagogique du double cursus Esä - The Margate School. — Some of our practices approach and discuss labour (institutional and individual). Hard work refers to something that is laborious but there is a kind of pride in having completed it (could refer to the diploma, your research, creating and experimenting, everything you had to overcome to get to this point)...  Things aren't easy at the moment, so the 'hard' part could also be about the difficulties we face and sticking with them/confronting them. Art isn't always accommodating and pleasant either, it can raise uncomfortable questions/futures/realities... Melissa Ryke Educational coordinator for the dual curriculum at Esä - The Margate School. Du lundi au samedi de 14 h à 18 h Galerie Exutoire 5 rue de l'Esplanade, 59140 DUNKERQUE +33 (0)3 28 63 96 36

Inauguration le 19  septembre 2025  à 17 h Exposition visible du 19.09.25  au 15.10.25 Du lundi au samedi de 14 h à 18 h Galerie Commune 36bis rue des Ursulines, 59200 Tourcoing +33 (0)3 59 63 43 20 Thibault Barois, Louise Carbonnier, Marie Charpentier, Aurélie Damon, Laurent Delecroix, Jean-Claude Demeure, Lionel Descamps, Phœbe Dingwall, Margaux Dodard, Caroline Ebin, Anaïs Hache, Amine Haddadi, Paul Krulic, Renaud Louchard, Jonathan Michel Paul, Pierre Saunier, Thibault Schiell, Janusz Stega, Asli Torcu, Alexis Trousset, Manon Velard, Hugo Villaspasa, Dominic Virtosu, Antoine Watel L’exposition réunit un ensemble de jeunes et anciens artistes diplômé·es de l’École Supérieure d’Art de Tourcoing qui, chacun·e à leur manière, réactivent aujourd’hui la peinture comme espace d’expérimentation. Loin de toute nostalgie du geste ou du médium, leur pratique témoigne d’une attention particulière aux mutations de l’image, aux matérialités contemporaines et aux hybridations disciplinaires. C’est une peinture élargie, une peinture-pensée, qui refuse les cadres fixes pour explorer le politique, l’intime, le récit, l’espace pictural, le numérique et la plasticité. Chez ces artistes, la surface picturale devient terrain d’enquête. Elle se fait écran, objet, fragment, empreinte. Elle capte, absorbe, rejoue. Certains détournent les codes de l’abstraction ou de la figuration pour en révéler les tensions. D’autres incorporent à leurs œuvres des éléments textiles, technologiques ou performatifs, dans une logique de contamination fertile. Cette pluralité ne dissout pas la peinture, elle en redéfinit les contours avec acuité. Formé·es dans un contexte d’ouverture interdisciplinaire, ces artistes inscrivent leur travail dans une dynamique vivante, en prise avec les enjeux du monde actuel. La peinture devient alors un outil critique, une forme active de présence au monde. Elle interroge ce que c’est que voir, faire image, produire du sensible dans un environnement saturé de signes. Ainsi, l’exposition ne cherche pas à dresser un panorama, encore moins à figer une scène. Elle offre plutôt un instantané, un éclat collectif : des démarches singulières, autonomes, mais traversées par des questions communes. Comment faire encore peinture aujourd’hui ? Quels gestes, quelles matières, quelles formes pour dire la complexité du présent ? Alexis Trousset  Professeur de gravure, site de Tourcoing Informations complémentaires

No Florin, Shannon Noubi et Matei sont arrivé·es ce week-end à la Tianjin Academy of Fine Arts (TAFA), l’une des plus importantes écoles d’art de Chine. Après un long voyage et les premiers dépaysements, il et elles  ont commencé à s’immerger dans la vie de l’académie. Chacun·e a pu choisir sa spécialité ainsi que l’enseignant ou l’enseignante qui l’accompagnera tout au long de l’année. Shannon a rejoint l’atelier de peinture en quatrième année, tandis que Matei poursuit son parcours en deuxième année dans la même spécialité. De son côté, No Florin a pris une orientation en médias numériques, suivi par son mentor, qui n’est autre que le président de l’école, Qui Zhijie, artiste de renommée internationale. Cette rentrée marque donc un moment important pour chacun·e d’entre eux·elles : une immersion dans un nouvel environnement académique, culturel et artistique, qui viendra enrichir leur parcours à la fois personnel et professionnel. Tout au long de leur année de mobilité, il et elles resteront en lien étroit avec l’ESÄ | Dunkerque-Tourcoing, avec la direction des relations internationales et leur coordinateur·rice pédagogique, afin d’assurer un suivi régulier et un échange constant entre nos deux écoles. Nous leur souhaitons une année riche en découvertes, en apprentissages et en créations, et nous suivrons avec intérêt leurs évolutions et projets à Tianjin. Accueil chaleureux pour nos trois étudiant.es ! Première séance de travail, le choix de la spécialité et de l'enseignant.e référent.e

Notre ambassadrice, Mme Huang Jincui, était à Beijing (Pékin) le 23 août pour représenter l’Esä | Dunkerque-Tourcoing lors d’un salon Campus France. Elle y a partagé ses expériences avec de futurs étudiants inspirés, leur présentant nos cursus innovants, comme le programme “2+2” en Chine ou les liens avec TAFA Tianjin . Chez nous, l’art traverse les continents — et ce n’est que le début !

Vous recevez avec ces sujets un lien vers un formulaire à compléter, vous y déposerez votre fichier de réponses. Vous avez jusqu’à ce soir, 28 août minuit, pour envoyer votre devoir. ÉPREUVE DE CULTURE GÉNÉRALE, un sujet à traiter sur les deux proposés. ➤ Épreuve dite de culture générale, doit avantager l’exploration, l’analyse, la réflexion personnelle, vous devez retourner un texte de 4000 signes (+/- 10 %) , tapuscrit, pouvant être accompagné d’iconographie, de dessins, schémas. Le format final doit être IMPÉRATIVEMENT en format .PDF ou .DOC Pour ne pas envoyer des fichiers trop lourds, ainsi réduire le temps de téléversement et éviter les plantages, je vous conseille d’utiliser des solutions en ligne comme : https://www.ilovepdf.com/fr ; https://smallpdf.com/fr . A noter : l’utilisation d’une aide d’intelligence artificielle est vérifiée par les correcteurs, cela est proscrit et entraîne une élimination d’office. ● Sujet 1 Commentez cette citation du philosophe Gilles Deleuze, en l'ouvrant à d'autres champs de la création : « Comment le peintre va-t-il échapper aux clichés, tant aux clichés qui viennent du dehors et qui s'imposent déjà sur la toile, qu'aux clichés qui viennent de lui ? Ça va être une lutte avec l'ombre, puisque ces clichés n'existent pas objectivement. Encore une fois, on croit à la surface blanche, et pourtant ils sont là. Tous ont eut ce drame : comment échapper aux clichés, même un cliché qui ne serait rien qu'à eux ? C'est une lutte effarante. » Gilles Deleuze, Sur la peinture, cours de mars-juin 1981, Paris, éditions de Minuit, 2023, p. 59. ● Sujet 2 Réalisez une étude comparative à partir des deux œuvres suivantes : Play within a Play within a Play and Me with a Cigarette, So Up Yours, Up Yours, Up Yours , David Hockney, 2025 L’arbre des voyelles , Giuseppe Penone, 1999 Décrivez les deux œuvres et comparez-les. Précisez dans quelle mesure ces deux œuvres sont ou ne sont pas en adéquation avec le monde dans lequel vous vivez.