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Du 25 mars au 2 avril 2025 — Galerie 36bis, Esä, site de TOURCOING Exposition des étudiant·es de 2e années accompagné·es par les stagiaires en formation CE2A/CFPI Du 17 février au 8 mars 2025, l’Esä | Dunkerque - Tourcoing s’est installée au Clos des Fées de Paluel , pour mettre en place l’ESTA : un projet d’ école Supérieure Temporaire d’Art . Dans cette période, les étudiantes CE2A - Formation Plasticien·nes Intervenant·es, Tinhinane Kerchouche, Daria Tommasi et Manon Velard se sont engagées à organiser des activités destinées aux résident·es de Paluel, ainsi qu’aux élèves de l’école de Vittefleur. De plus, l’ESTA a permis à 12 étudiant.es de l'école, en deuxième année, de vivre une première expérience en résidence artistique, dans les ateliers mis à disposition par la Commune de Paluel. De passage pendant trois semaines, les étudiant.es en résidence ont exploré le lieu et ses multiples facettes. Le paysage normand est marqué à la fois par l'empreinte de l'activité humaine – avec les silhouettes imposantes de la centrale nucléaire et des éoliennes à l'horizon – et par une nature encore bien présente, entre falaises, plage et le fleuve Durdent qui traverse le territoire. Ces contrastes entre nature et industrie ont nourri le travail des étudiant.es. À l'occasion de balades et d'expéditions sur le terrain, ils ont observé leur environnement et collecté divers matériaux, devenus la matière première de leurs créations. Leurs travaux ont été réalisés avec les moyens disponibles, ils ont privilégié des matériaux de rebut ou de récupération : tissus de vêtements usagés, résidus végétaux ou animaux glanés à la campagne ou sur le littoral, fragments issus de l'activité industrielle, emballages plastiques, cailloux, et autres objets trouvés.

20 mars 2025 à 16h — Esä, site de DUNKERQUE Conférence et rencontre avec Alexandre Humblet, diplômé de l'École des beaux-Arts de Liège et Théo Pollaert, diplômé de l'Esä, site de Dunkerque, tous les deux artistes en résidence CRESCENDO dans les ateliers de Fructôse jusqu'au 28 mars. © Alexandre Humblet © Alexandre Humblet © Rencontre pro, exposition HOLO SUITE à La Plate-Forme, Dunkerque, 2025 © Rencontre pro, exposition HOLO SUITE à La Plate-Forme, Dunkerque, 2025 Projet soutenu par le ministère de la Culture dans la cadre de l'appel à projets CulturePro.

19 mars 2025 à 18h30 — La cuisine, FIVES 20 mars à 18h30 — Artconnexion, Lille En partenariat avec l'Esä, site de tourcoing

Du 13 au 21 mars — Galerie Commune, TOURCOING Vernissage : jeudi 13 mars à 17h30 © DR Cette exposition retrace le  parcours de recherche des 24 étudiant·es du programme PRIST , explorant les interactions entre  les arts et les sciences  autour de la question des  empathies envers les partenaires non humains , dans le cadre de l’atelier  “Mondes vivants” . Elle revisite également  les imaginaires du souple , au sein du séminaire de recherche-création  saPRISTi! , en partenariat avec la  Maison des Humanités Potentielles  et le programme de recherche  Robotique Organique (PEPR O2R) . Conçue comme un  espace de réflexion et de dialogue , cette exposition rassemble une grande diversité de médiums :  objets animés, projections, performances, vidéos, sculptures, dessins, peintures et photographies , offrant une  immersion dans les processus de création  et les enjeux qui les sous-tendent. Elle s’inscrit dans le prolongement des travaux menés dans le cadre du  partenariat entre l’ESA et Polytech’Lille, l’École Polytechnique Universitaire de Lille , qui a permis le développement de plusieurs œuvres en  binômes entre étudiant·es en art et ingénieur·es , ainsi qu’avec  Corentin Spriet, Ingénieur CNRS – Université de Lille . Nous serions  honorés de vous compter parmi nous  lors du vernissage, en présence des  équipes enseignantes et des personnalités culturelles ayant accompagné ce projet . Accompagnement pédagogique : Cyril Crignon, Hugo Dinër, Marie Lelouche, Nathalie Stefanov Avec la participation de : DE OLIVEIRA MOTA, Veronica DENUDT, Maya PICHON, Arthur FLORIN CONGAR, No LASSERON, Eliott CHENEL, Clem MAERTEN, Lou JUNCO, Jorge Daniel PINCHART, Philippine PARATIAN, Yohan MARKOWICZ, Nicolas KOODUN, Lucie BELUNA DESCAMPS, Adèle COSTEAUX, Mary ROUGE CENDRE MONTAGNE, Lilo DIETTE, Cécilia ZHAO, Moyue CLAUX, Benjamin TOCABEN, Maëlle CNEUDE, Martin LOSFELD-AIMÉ, Clara

Du 24 février au 14 mars 2025 à l'Esä, sites de DUNKERQUE et de TOURCOING Atelier de sérigraphie, 2024 © A. Rivollet Il s'agit ici d' ouvrir les cours de 1e année à de potentiel·les candidat·es afin de leur permettre de vivre l'Esä de l'intérieur , en conditions réelles pour mieux choisir leur parcours d'études supérieures. Ainsi, elles et ils suivent, les ateliers et cours, sur un ou plusieurs jours (selon l'accord signé avec le lycée d'origine), comme les étudiant·e·s de l'école. Les étudiant·es volontaires de l'école les guident dans les bâtiments et leur racontent la vie étudiante à l'Esä. Plus d'informations : pauline.florent@esa-n.info

Du 20 avril au 24 novembre 2024 — VENISE, Italie Pavillon belge, Petticoat Government, Biennale de Venise, 2024 © Jean-Baptiste Carobolante Pavillon belge, Petticoat Government, Biennale de Venise, 2024© Jean-Baptiste Carobolante Pavillon belge, Petticoat Government, Biennale de Venise, 2024 © Jean-Baptiste Carobolante Pavillon belge, Petticoat Government, Biennale de Venise, 2024 © Jean-Baptiste Carobolante Pavillon belge, Petticoat Government, Biennale de Venise, 2024 © Jean-Baptiste Carobolante Trois étudiant·es de l'Esä, site de Dunkerque ont participé au projet de Petticoat government pour la biennale de Venise 2024 : Lola Demazeux, Anselme Sargeni, Mingwang Wang, avec l'accompagnement de Jean-Baptiste Carobolante , enseignant chercheur à l'Esä. Petticoat Government est une œuvre chorale et l’image d’un corps collectif initié par sept personnes qui forment ensemble un collectif pluridisciplinaire. Suite à un appel à projets lancé par le Ministre-Président Pierre-Yves Jeholet et la Ministre de la Culture Bénédicte Linard , le collectif de Petticoat Government (Denicolai & Provoost · Antoinette Jattiot · Nord · Spec uloos) a été sélectionné pour représenter la Fédération Wallonie-Bruxelles et Wallonie-Bruxelles International lors de la Biennale de Venise 2024 .  À la croisée de l’art, des pratiques curatoriales, de l’architecture, de la typographie et de la cartographie, ce collectif formé par Sophie Boiron , Valentin Bollaert , Simona Denicolai , Pauline Fockedey , Pierre Huyghebaert , Antoinette Jattiot et Ivo Provoost , se saisit sur un mode collaboratif et horizontal du format de l’exposition pour s’en décaler via une série de chapitres et un potentiel fictionnel. Les membres du collectif rassemblés pour la Biennale autour d’une traversée physique et symbolique sont liés par des collaborations au long cours et les rôles d’intermédiaires et critiques qu’ils adoptent avec des contextes dans et en dehors du champ de l’art. C’est dans cette position qu’ils interrogent le regard porté sur des organisations collectives, populaires, alternatives et leurs modes de partage.  Dans le cadre de la Biennale de Venise 2024 , les membres de Petticoat Government proposent un scénario pluridisciplinaire à partir de géant·es folkloriques existant·es emprunté·es à différentes communautés en Belgique, France, Espagne . Leurs déplacements performatifs vers l’Italie, en passant par le col de Resia le 9 mars 2024 puis de retour à Charleroi et à Dunkerque en 2025 , insufflent un trouble joyeux dans le réel par la variété de jeux d’échelle et de tensions entre l’humain et le non-humain, le paysage et l’architecture, les frontières et leur transgression. À l’encontre d’une œuvre close, le Pavillon belge à Venise est imaginé comme un lieu de passage avec une optique en kaléidoscope. La scénographie aérienne et sonore qui dispose les figures gigantesques hors-sol interroge, par la place faite à l’oralité et à la co-construction de récits, l’origine de mythologies contemporaines et d’histoires séculaires.  Dérivé d’une dénomination historique d’un renversement de rapport de pouvoir , le titre suggère un bouleversement toujours en cours. Petticoat Government imagine un changement de paradigme en brouillant les lisières entre les disciplines et les cultures artistiques et populaires . Le collectif et ses multiples complices activent le potentiel du mélange des genres et des attitudes comme autant de possibles pour questionner la complexité, et se mettre en présence, des mondes avec lesquels il relationne. Plus que la stigmatisation d’une pratique individuelle, le projet sélectionné pour le Pavillon belge de la Biennale de Venise 2024 souligne la faisabilité d’un ‘faire avec’ collectif. Communiqué de presse de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Du 05 décembre 2024 au 08 janvier 2025  — Galerie des Ursulines, site de TOURCOING Avec des travaux des enseignants de l'école d'art de Tianjin, Chine. Vernissage, le 5 décembre 2024 dès 16h : — 16h : Coopération TAFA - Esä — 16h30 : Présentation de Facettes - Discours du comité de rédaction  — 17h : pot et vernissage dans le hall de la Galerie Commune Exhibition Preface The term PRISM refers to an optical device that can be used as a metaphor to reflect the intrinsic qualities and external expressions of a culture from multiple perspectives and dimensions. When time is seen through the lens of a polygon prism, it not only embodies communication and understanding between different cultures but also showcases the diversity of these cultures, facilitating cross-cultural dialogue and helping people better appreciate the values and characteristics of different traditions. Before the 19th century, all cultures were primarily regional, and artistic styles were bound by time and place. However, in the 19th century, time gave rise to global imaginations, and observers began to depict the world as a "global village." After the 19th century, time became an object to be displayed and explored across many fields, akin to a polygon prism reflecting both the divisions and reunifications of the world. As the maritime era transformed imperial time into marine time, the narrative structure of world history shifted, and a public space was created through the oceans, fostering the exchange of diverse cultures and cross-border interactions. Through the oceans, people developed a global perspective. TAFA and Esä are located in Tianjin, China, and northern France respectively, both regions with rich maritime histories. This year marks the 60th anniversary of diplomatic relations between China and France, as well as the 20th anniversary of the partnership between the two institutions . Over the past two decades, the two universities have hosted exchange programmes, involving hundreds of students from both countries in reciprocal study. In the realm of art education, the two schools have engaged in joint teaching projects and collaborated in many areas, including teaching, creation, assessment, and research. This exhibition highlights the results of this long- standing, in-depth collaboration and uses the metaphor of the polygon prism to reflect the cities of Tianjin and Tourcoing, and how the art academies there have witnessed the integration, mutual learning, and exchange between Chinese and French art and art education. The exhibition embarks on an artistic journey beginning with TAFA, revealing the interplay of diversity and commonality through the ocean waves, and eventually arriving at Esä, which is synchronised with global time. The participating artists interpret the passage of time as they experience it in the natural world and present a variety of historical and cultural narratives from different eras within a shared timeline, displayed within foreign historic buildings. Exposition visible du mardi au vendredi de 14h à 19h. Le samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h. Informations et réservation pour les groupes : +33 (0)3 59 63 43 20 ou galerie.ursulines@esa-n.info

31 janvier au 28 février 2025 — DUNKERQUE et TOURCOING — DUNKERQUE — La Plate-Forme & galerie Exutoire > Inauguration : vendredi 31 janvier à 17h30 à la galerie Exutoire et 18h30 à La Plate-Forme — TOURCOING — galeries 36Bis & des Ursulines > Inauguration : samedi 1er février à 17h30 Avec les oeuvres de : Clément Gouley, Hélène Berlemont, Manon Velard, Marion Denis, Milena Nastasi, Paul Krulic, Rose Texier, Shuya Zhu, Théo Pollaert, Yu-Ching Lo. — Holo Suite   réunit les œuvres de jeunes artistes qui viennent tout juste d’obtenir leur Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique. La sortie de l’École Supérieure d’Art Dunkerque/Tourcoing les situent sur un point de bascule de leur parcours artistique : les voilà désormais à la croisée de l’expérimentation et de la professionnalisation. Or ce moment si particulier entre en résonance avec le triptyque conceptuel qui innerve l’exposition.  Holo Suite propose une exploration de mondes, réels et imaginés, et une réflexion sur les notions d’immersion, d’époque, et de nouveauté. Holo Suite s’appuie sur trois références qui se répondent et enrichissent la thématique générale. Il convient tout d’abord de lire, dans son intitulé même, une référence à ce fantasme technologique dont on trouve une réalisation dans l’univers fictionnel de  Star Trek  : il y va, avec l’holosuite, d’une salle équipée de manière à pouvoir générer des environnements holographiques et rendre ainsi possible une immersion totale au sein de mondes simulés de manière on ne peut plus réaliste, à des fins d’entraînement aussi bien que de divertissement. Cette référence est ici une métaphore des œuvres exposées, qui jouent elles aussi avec des constructions immersives : des mondes qui interrogent notre perception, nos récits, et nos modes d’interaction avec le réel. 
Parallèlement,  Holo Suite  fait écho aux questionnements portant sur la caractérisation de l’époque où nous nous trouvons : nous sommes censés vivre encore dans cette ère géologique qui a débuté il y a 11 500 ans, à la fin de la période glaciaire, et que l’on a baptisé “Holocène”, pour faire entendre par là qu’il s’agit d’une époque “entièrement nouvelle”. L’’émergence du concept d’Anthropocène — désignant une époque où l’humain serait devenu la force géologique dominante — nous invite à interroger notre époque actuelle, ses mutations, et le sens qu’il y aurait à se vivre dans une époque qui serait toujours “entièrement nouvelle”. Les artistes de cette exposition s’inscrivent dans cette tension et la difficulté que nous éprouvons à négocier un passage à une nouvelle ère : comment penser l’inédit, l’inconfort du changement, et la nécessité de s’orienter dans un monde en transition ? Enfin, l’exposition se saisit, comme d’un prisme, d’une citation de Gaston Bachelard qui, dans  L’Air et les songes , nous rappelle que “la valeur d’une image se mesure à l’étendue de son auréole imaginaire. Grâce à l’imaginaire, l’imagination est essentiellement ouverte, évasive. Elle est, dans le psychisme humain, l’expérience même de l’ouverture, l’expérience même de la nouveauté”. La question qui traverse Holo Suite  pourrait donc être formulée ainsi : comment faire suite au nouveau, comment y répondre, comment  accueillir l’inédit et  entretenir avec lui une conversation vivante ? À l’intersection de ces trois idées, Holo Suite  invite à explorer les récits, les environnements et les objets que cette nouvelle génération d’artistes propose, interrogeant nos mondes actuels, les projections qui les prolongent, et les imaginaires qui nous permettent d’en réinventer les contours. C’est une invitation à la fois critique et poétique à penser le passage, le seuil, et la continuité. Cyril Crignon, docteur en philosophie et enseignant à l'Esä. Entrée libre dans les 4 lieux. — A DUNKERQUE : LA PLATE-FORME Du mercredi au samedi de 14h30 à 18h 67/69 Rue Henri Terquem 03 28 58 25 66 GALERIE EXUTOIRE Du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 17h. 5 rue de l'Esplanade 03 28 63 72 93 — À TOURCOING : GALERIE DES URSULINES & GALERIE 36Bis Du mardi au vendredi de 14h à 19h et le samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h. 36 rue des Ursulines 03 59 63 43 20

Mardi 25 février à 18h — Esä, site de Dunkerque Proposée par Fructôse dans le cadre du workshop "Marée Montante" . En 1805 apparaît l’expression Terre amoureuse en technique agricole pour désigner une terre bien ameublie et rendue fertile. Elle disparaît des dictionnaires en 1928, alors même que l’agriculture intensive prend son essor participant, avec d’autres pratiques extractivistes, à l’effondrement de la biodiversité. Afin d’aborder cette manière de consommer notre terre, Stéphanie Sagot introduira cette conférence par la performance « Les nourritures politiques, section bestiaire » (2024) qui croise des discours des ministres de l’agriculture français à travers l’Histoire (Le Nouveau Ministère de l’Agriculture, 2018) à un corpus d’œuvres issues de la littérature et des arts visuels des XXème et XXIème siècle. Les enjeux d’une monoculture de l’esprit (Vandana Shiva, 1993) et d’un réductionnisme mécaniste du vivant y sont mis en perspectives pour aborder, entre autres, le réengagement contemporain de l’économie de subsistance ainsi que les luttes paysannes. Elle poursuivra en présentant certaines de ses œuvres ou de ses travaux de recherche-création articulés à des écotopies concrètes mettant en jeu des Terres amoureuses qui agradent la vie des sols. La création constitue ici une écologie politique pour un monde qui se réforme, se fertilise et dont les lieux sont constitués de la matérialisation des sentiments. Se dessine alors l’éveil d’une écosensibilité qui réaffirme la capacité agissante de l’art et sa nécessité en faveur notamment de la biodiversité. Artiste, maîtresse de conférence en art à l’Université de Nîmes, fondatrice du centre d’art et de design La cuisine qu’elle a dirigé entre 2004 et 2016, cofondatrice des duos artistiques le Nouveau Ministère de l’Agriculture et Becquemin & Sagot, amoureuse de la terre et de l’océan, le travail de Stéphanie Sagot s’engage dans la tendresse et le soin que nous pouvons porter à ces éléments, dans des pratiques de recherche-création situées mettant en relation d’autres amoureu.se.s de la vie dans ses formes diverses. En infiltrant le réel à l’épreuve des dominations, elle investit des sujets touchant à l’écoféminisme, à la paysannerie et aux politiques agricoles.

Du 20 septembre au 19 octobre 2024 — Galerie des Ursulines, Esä site de TOURCOING Vernissage le 20 septembre à 16h30, précédé d'une présentation par l'artiste à 16h. Une exposition monographique de Daniela Lorini, diplômée de l'Esä, site de Tourcoing . © Daniela Lorini En explorant ces écosystèmes qui ne sont opposés qu'en apparence, et en contemplant leur danse évolutive éphémère, une étrange harmonie se dessine, un écho allant de la mer à la terre infinie. Cette symphonie imaginaire, rythmée par d'extraordinaires êtres d’eau, nous entraîne dans une balade captivante où laminaires, grenouilles, échinodermes, toucans, humains et autres secrets se mêlent. © Daniela Lorini GALERIE DES URSULINES   Du mardi au vendredi de 14h à 19h. Le samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h. 36 rue des Ursulines  59200 Tourcoing  +33 (0)3 59 63 43 20

Du 12 au 29 novembre 2024 — Galerie Exutoire, DUNKERQUE Vernissage le mercredi 13 novembre 2024 à 18h © Wang Mingwang BONNET Léna COCQUEMPOT Emma CUDEK Enora KIYANI BARFOROOSHI Gaëtan LE ROUZIC Elie LUO Cai WANG Junfang WANG Mingwang Le workshop proposé avait pour objet la dérive sous différentes formes avec pour finalité une production plastique dans des techniques variées. Les déplacements en bus, en train ou à pied ont permis de traverser des lieux et de faire l’expérience des frontières de la France à l’Allemagne en passant par la Belgique, ainsi que par la visite du Checkpoint Alpha qui était un point de contrôle entre l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est jusqu’à 1990. Les étudiant·es de l’Esä et de la Hochschule für bildende Künste de Braunschweig ont pu faire connaissance et échanger leurs expériences, en prévision d’un deuxième volet qui aura lieu au printemps 2025. Dans le cadre de l'atelier de recherche Paysages à rebours , conduit par Jean-Claude Mouton. Avec le soutien de l’ OFAJ. Entrée libre Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 17h. — Galerie Exutoire 5 rue de l'Esplanade 59140 Dunkerque +33 (0)3 28 63 72 93

Du 12 octobre 2024 au 05 janvier 2025 — Frac Grand Large — Hauts-de-France © Le Fresnoy Programmation de films inédits réalisés cette année par les artistes en formation au Fresnoy – Studio national des arts contemporains, Tourcoing Une sélection conçue avec l’Atelier de Recherche et Création UBIK de l’Esä | Dunkerque-Tourcoing en écho à l’exposition Panorama 26 , au Fresnoy à Tourcoing du 20 septembre 2024 au 5 janvier 2025. Avec les films de : Majid AL-REMAIHI Nicola BARATTO Alexandre CORNET Félix CÔTE Émilien DUBUC Rony EFRAT Thimothée ENGASSER Harold LECHIEN Elsa MICHAUD Nicolas PIRUS Robin TOUCHARD