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Mardi 28 septembre 2021 à 17h30 — Site de DUNKERQUE Christelle Mally, Albert Clermont — La Plate-Forme et Elodie Condette — Frac Grand Large — Hauts-de-France viennent présenter la programmation des expositions / fin 2021 - 2022, à l'école d'art. https://www.laplateforme-dunkerque.com/ https://www.fracgrandlarge-hdf.fr/expositions/ Sur présentation du Pass sanitaire.

18 septembre au 4 octobre — Galerie 36 bis, site de TOURCOING 20 septembre 12h : inauguration Louise Mazzola Béatrice Meunier-Dery Stéphanie Laleuw Depuis quelques années, le monde de l’art contemporain a enfin intégré le textile comme matériau de prédilection parmi les pratiques plastiques les plus actuelles, et les plus novatrices dans ce domaine. S’il a été historiquement l’apanage et le fleuron de l’industrie au coeur de la métropole lilloise, on l’a souvent relégué et associé à des activités artisanales dites “féminines”, en l’identifiant systématiquement à un genre “mineur” propre au registre “décoratif”, totalement négligé et oublié des historiens de l’art. Les trois artistes présentées dans cette exposition, viennent en quelque sorte “casser tous les clichés” d’un matériau qui n’a pourtant cessé d'évoluer dans le temps, à travers la recherche et l'innovation technologique. En effet, ces plasticiennes utilisent ici le textile comme un médium à part entière, à travers des approches à la fois extrêmement originales, et différentes les unes des autres. Si le travail de Stéphanie Laleuw par ses superpositions et juxtapositions de tissus brodés et cousus, reste dans la lignée d’une pratique picturale évidente, par son utilisation de compositions abstraites aux formes “complexes et élaborées”, le travail de Louise Mazzola est plus proche du registre de la sculpture, utilisant le textile dans sa texture, son volume et son poids, à travers une approche “matériologique” quasi “minérale, végétale, ou océanique”. Quand au travail de Béatrice Meunier-Déry, celle-ci utilise le textile dans sa dimension anthropologique et parfois ethnique, comme un “médium critique”, “un outil offensif”, face à une société qui n’a toujours pas su résoudre le problème des inégalités “hommes / femmes”, ou des ségrégations sociales et de genres. En ce sens, le textile est à l’image des peuples qui l’ont inventé, fabriqué, ou tout simplement utilisé. En tant que “trame” d’un récit collectif, il est non seulement porteur d’histoires, de coutumes, d’usages, de traditions et de mythes, mais surtout à la croisée d’identités multiples et variées, comme vecteur d’un patrimoine universel commun. PASS SANITAIRE L'accès aux évènements publics nécessite un pass sanitaire à présenter à l'entrée du bâtiment : - le résultat négatif d’un test ou examen de dépistage (test PCR de moins de 72 heures ou antigénique de moins de 48 heures ou autotest supervisé par un professionnel de santé) ou - un justificatif de vaccination (schéma vaccinal complet) ou - un certificat de rétablissement

L'Esä a le plaisir d'accueillir Thierry Heynen, son nouveau directeur général, entrant en fonction le 1er septembre 2021. Il succèdera à Catherine Delvigne, qui a consacré la majeure partie de sa carrière à l'Esä puisqu'engagée depuis trente années dans l'école, en tant qu'enseignante et directrice générale depuis 2015. Après des études à l'école régionale des beaux-arts de Rouen (aujourd'hui campus de Rouen de l'ESADHaR) avec un DNSEP option art en 1989 et à l'Université Paris I-Saint Charles avec une Licence d'arts plastiques en 1988, Thierry Heynen devient directeur de l'école municipale d'arts plastiques d'Yvetot en 1990 où il crée en novembre la Galerie Duchamp. Durant cette période, il continue son parcours d'artiste et participe à de nombreuses expositions en France, en Belgique, en Suisse et au Canada. Il est membre de l'association d'artistes Art Seine Tri.D. En 2005, il devient directeur de l'école supérieure d'art du Havre et remodèle entièrement le département design graphique qui n'avait alors qu'un premier cycle. En 2009, il co-fonde avec Pierre-Yves Cachard et Patrick Lebret la manifestation Une Saison Graphique. En 2011, suite à la fusion de l'école supérieure d'art du Havre et de l'école régionale des beaux-arts de Rouen, il devient le premier directeur général de l'ESADHaR. En 2012, avec Elisabeth Robert-Barzman, Laurence Mathey et Elise Parré, il crée le premier Master de Création littéraire de France. En 2018, en partenariat avec l'esam Caen/Cherbourg, l'ENSA Normandie et Normandie Université, il participe à la création du programme doctoral RADIAN. En 2019, il devient Vice-Président de Normandie Université et a en charge la Vie étudiante, la Culture et la Communication.

25 mai au 25 juin 2021 — École municipale d'arts plastiques, DUNKERQUE Je suis fille d’un chef de poste d’enrobage, j’ai toujours eu l’odeur du bitume dans le nez. Le bitume visqueux et luisant. L’ asphalte rugueux et mat. Ces différentes matières esthétiques me manquaient, tout en étant partout, autour de nous, et de ce fait, je me suis rendu compte de sa sur-abondance. J’ai alors, décidée de récupérer des déchets d’enrobage dans des usines, sur des travaux, et crée des formes qui racontent une histoire, un vécu, une mémoire. Je parle d’empreinte, de souvenir, du passé et je viens retranscrire mes préoccupations sur notre quotidien ou sur l’avenir. Inspirée par notre environnement urbain, je crée un monde aseptisé, rempli de mes questionnements. Lucie Marchand, étudiante en 5e année à l'Esä, site de Dunkerque prépare son diplôme, le DNSEP - grade master 2, à l'EMAP, dans la salle d'exposition dédiée à son installation. Une rare occasion de rencontrer le travail d'une étudiante en cours d'élaboration pour son diplôme de fin d'études. En partenariat avec l'École muncipale d'arts plastiques au 45 rue du Jeu de Paume, 59140 Dunkerque. Informations : 03 28 66 15 60.

Mardi 5 octobre à 18h — Esä, site de DUNKERQUE Poursuivant son travail photographique sur les territoires de France, Bertrand Meunier débute une résidence sur le territoire dunkerquois qui se poursuivra jusqu’en 2023. C’est à la « jeunesse », confrontée durement aux incertitudes en ces temps de pandémie, que Bertrand Meunier s’intéresse pour cette résidence de création. Son travail en noir et blanc, en argentique est aussi un travail autour d’images qui se découvrent lentement, plus tard, à rebours de l’instantanéité des images contemporaines. En partenariat avec le Château Coquelle

Une création graphique de Baptiste Plantin

Samedi 18 septembre à 14h — Site de DUNKERQUE Samedi - 14 h • 15 h 30 École supérieure d’art - [durée : 1 heure ] Dimanche - 10 h • 11 h 30 École Brossolette - [durée : 1 heure ] Dimanche - 15 h Groupe scolaire Château d’Eau - La Porte d’Eau* - [durée : 1 heure ] Visites commentées L’école de mon quartier, patrimoine des années 1950 Les destructions mais aussi la démocratisation de l’enseignement ont engendré la construction, à Dunkerque, d’une dizaine d’écoles dès les années 1950. Implantées de manière pensée et réfléchie dans les quartiers, elles répondent à des besoins et conceptions nouvelles de l’éducation. Parmi elles, quelques édifices remarquables, construits dans la pure tradition du Mouvement moderne, se démarquent. Venez les découvrir le temps d’une visite sur site ou d’une balade dans la cité. * L’oeuvre de Céline Condorelli « Play for Today », prêtée par le FRAC sera visible le dimanche 19 de 14 h 30 à 18 h. > Un document de présentation des différentes écoles sera disponible à la maison de l’Armateur ou à l’office du tourisme, il vous permettra de les découvrir en parcours libre. Sur réservation au 03 28 26 25 58 ou via culture@ville-dunkerque.fr

Du 11 au 24 septembre 2021 — Médiathèque Andrée Chedid, TOURCOING Samedi 18 septembre 2021 à 15h — Dançar - Performance (étape de création) Avec Alexis Costeux, étudiant à l'Esä, site de Tourcoing "Entends-tu? Vois-tu? la flamme" En lien avec la construction de la géante Babeth Mouton portée par la MJC La Fabrique, Alexis Costeux, étudiant à l'Ecole Supérieure d'Art NPDC, site de Tourcoing, expose son travail autour de la notion de patrimoine matériel et immatériel. “Les tambours frissonnent quand l’île se dessine. Carnaval de gestes rattrapés du passé, avenue d’après-guerre. La mélodie lancinante accompagne l’animal,dans le sable mouvant, les pas résonnent. C’est une forêt qui sonne, ce sont les mains qui claquent, au loin. Une voix nous raconte qu’il se passe quelque chose, là, à l’intérieur. L’homme écoute, les autres regardent.” Dançar est une performance dansée proposée par Alexis Costeux dans le cadre de l’exposition "Ecouter petit, regarder grand” : Spectacle / performance : Dançar (étape de création) Médiathèque Andrée Chedid Tourcoing samedi 18 septembre 2021 (unidivers.fr) Entrée libre, dans la limite de la jauge appliquée dans l'espace. Sur réservation. À partir de 6 ans. https://openagenda.com/.../exposition-ecouter-petit...

Mardi 21 septembre à 18h — Site de TOURCOING Antoine Munch (né en 1985) travaille dans le Consulting RH et Pharmaceutique pendant 10 ans et c’est en 2013 qu’il s’associe avec Quentin Carnaille, son ami d’enfance, pour déployer ensemble son activité artistique. Il contribue au développement de photographies, de sculptures, de vidéos, d’installations urbaines et se passionnera pour la performance qu’il intègrera dans ses recherches en Arts Plastiques et Visuels à Lille. Depuis 2018, il soutient l’entreprise comme lieu de médiation idéal pour l’art contemporain. Sa société, Collectionism, propose des services de conseil en acquisition, de communication, de production et de financement pour l’art contemporain. Il observe aussi les mutations du marché de l’art avec une attention particulière pour les nouvelles technologies (plateformes, applications, blockchain). Ouvert à tous

Mercredi 29 septembre 2021 — Label Epicerie, COUDEKERQUE-BRANCHE Une première rencontre ouverte à toutes et à tous, curieux, passants, volontaires... Pour concevoir un projet artistique, collaboratif dans le quartier du Petit Steendam à Coudekerque-Branche. Avec le soutien de la Fondation Daniel & Nina Carasso

22 au 30 septembre : exposition — Galerie Commune, site de TOURCOING Jeudi 23 septembre, 17h à 21h — Vernissage / performance à 18h30 Jeudi 30 septembre, 13h-18h — Finissage (en présence des étudiants de l'Esä ayant participé au montage de l'exposition) Dans le cadre la biennale Watch This Space portée par 50° nord - réseau transfrontalier d’art contemporain. Depuis 2012, la recherche plastique de Jérôme Poloczek s’est peu à peu déplacée vers des dispositifs ritualisés. Ceux-ci utilisent des moyens pauvres, développent des gestes et demandent d’être investis par l’environnement (temps, espace, participation humaine). En effet, cette recherche explore la tension entre l’impermanence du réel et la possibilité de créer des signes partageables (gestes, mots, formes plastiques). D’un côté, parvenir à regarder l’insécurité fascinante du vivant, de l’autre, créer des symboles transmissibles entre humains, notamment après le déclin des traditions orales, gestuelles et religieuses. En 2021, ses recherches poursuivront ce sillon vers deux horizons en cours, celui du dessin/performance et celui de la sculpture/performance. En abordant le partage et la destruction ou la disparition, l’expérience visera, paradoxalement, une sensibilité non-conceptuelle et une ouverture à la communauté humaine.Il mettra en œuvre cette recherche lors d'un workshop à l'ESA Tourcoing qui comportera des restitutions publiques et une exposition monographique. Pour son exposition dans le cadre de la biennale Watch This Space de 50° nord, Jérôme Poloczek présentera un livre inédit. Dans cette édition, on trouve un texte, écrit durant le premier confinement, emprunt de colère, qui fut tout d’abord discrètement publié sur internet. Ensuite déniché par une future mère inconnue de l’artiste, il accompagna à sa demande le carton de naissance de son enfant, prenant alors un sens plus optimiste. Comme en réponse à cette sollicitation et pour honorer ce nouveau-né, Jérôme Poloczek a transformé ce texte en « livre à colorier ». Le sujet du livre devient autant celui de la colère que celui de la confiance dans le fait que des enfants continueront de naître. Confiance qui pose néanmoins une condition : celle que des gestes manuels, ne pouvant être reproduits à la chaîne, puissent continuer d’exister. Des gestes comme dessiner. Chaque page de chaque livre du tirage ne présente qu’une phrase imprimée en noir. Au-dessus, le dessin minimal est réalisé à la main par l’artiste. Ainsi, tous les exemplaires ne deviennent achevés qu'à la suite de ce geste reproduit imparfaitement sur chaque page. Un geste presque zen, ou de moine copiste païen qui produit des variations d'un exemplaires à l'autre et qui sera performé durant le vernissage. Fidèle à sa série de « rituels », actions utilisant des matériaux pauvres et des gestes partageables, Jérôme Poloczek présentera également « Dé/composition » un rituel participatif au vernissage et au finissage. PASS SANITAIRE L'accès aux évènements publics nécessite un pass sanitaire à présenter à l'entrée du bâtiment : - le résultat négatif d’un test ou examen de dépistage (test PCR de moins de 72 heures ou antigénique de moins de 48 heures ou autotest supervisé par un professionnel de santé) ou - un justificatif de vaccination (schéma vaccinal complet) ou - un certificat de rétablissement

Du 21 au 24 septembre 2021, site de DUNKERQUE Rencontre publique jeudi 23 septembre à 18h avec l'artiste intervenant : Mikail Koçak Dans le cadre la biennale Watch This Space portée par 50° nord - réseau transfrontalier d’art contemporain. Le but de ce workshop est de réaliser son propre inventaire de motifs et de concevoir ensemble une installation en lien avec « Kültürel Küvet » (2). 1) Inventaire personnel Tout plasticien se construit un alphabet évolutif propre pour créer et approfondir sa recherche. Le motif ou les motifs d’une pratique peuvent être de natures diverses : la photographie, le dessin, les objets, les mots… tout est ornement mobile. Il est essentiel de structurer ses éléments / ses codes. Ce lexique permet au plasticien de composer, d’expérimenter et d’apporter une unité à son travail. Ce catalogue n’existe qu’à partir du moment où l’on porte une attention particulière à sa production plastique. C’est ce mouvement de recul que Mikail Koçak propose à chacun des participants du workshop en les invitant à repérer les formes, les processus, les compositions spécifiques/répétitives dans leur travail. Et si le répertoire plastique d’un travail était plus clair qu’un texte explicatif ? Parler de l’art par l’art. La trace de cette démarche se formalisera par un print (sérigraphie, gravure, impressions numérique, impressions digitales…) au format imposé (50 x 40). 2) « Kültürel Küvet » (cuvette culturelle en turc) Dans le cadre de Watch This Space (biennale portée par 50° nord), Mikail Koçak exposera dans le pavillon Fourmarier (octobre 2021, Chaudfontaine, Belgique) qui renferme un ancien accès aux sources d’eau chaude de la ville. Mikail Koçak souhaite lier les recherches des étudiants aux siennes, en les invitant à produire une oeuvre collective, à partir d’éléments de l’inventaire de chacun. L’oeuvre s’intégrera dans l’intervention «Kültürel Küvet» prévue dans le lieu. PASS SANITAIRE L'accès aux évènements publics nécessite un pass sanitaire à présenter à l'entrée du bâtiment : - le résultat négatif d’un test ou examen de dépistage (test PCR de moins de 72 heures ou antigénique de moins de 48 heures ou autotest supervisé par un professionnel de santé) ou - un justificatif de vaccination (schéma vaccinal complet) ou - un certificat de rétablissement