Équipe pédagogique — Site de Tourcoing

Sa recherche d’artiste se développe autour de la relation entre image et mouvement, un regard de plasticienne posé sur la danse.

Sa pratique artistique s'intéresse aux lieux communs linguistiques et visuels tels que la parole performative ou l'imagerie animale collective. À travers sa pratique du dessin, de la sculpture et de la performance, il explore la tension entre attente et déception, ironie et honnêteté, espoir et angoisse.

Intéressée par l’évolution des formes prises dans leur contexte technico-culturel, avec une attention particulière portée aux pratiques du remix, elle participe à plusieurs programmes de résidence en Corée du Sud, en France, en Italie, développe des projets collectifs en Amazonie et en Sibérie, et collabore avec des chercheurs, des artisans, des ingénieurs et plus récemment avec un chorégraphe.

Dans sa pratique, Leïla Pereira interroge le rapport que nous entretenons au réel à travers le geste, l’image photographique et le texte.

Sa recherche-création se concentre sur une investigation ludique et poétique du quotidien et sur une expérimentation des installations audiovisuelles.

Il puise en partie son inspiration des peintures et décorations murales traditionnelles qui ornaient les intérieurs des maisons polonaises. Il est interventionniste.

Les dessins d’Alexis Trousset sont travaillés par des réseaux capillaires qui oscillent de façon vibrante entre le chaos et l’ordre en faisant apparaître des évocations entropiques rappelant la foudre, des effluves, des racines, de la poussière, des métastases ou des connexions étranges faisant penser à des flux d’énergies.

Depuis plusieurs années, sa pratique pluridisciplinaire se concentre sur les arts relationnels en convoquant le corps, la poésie, l'intime et le sensible.

Il a récemment établi la première édition française du Dépassement de l’ « art », de l’historien de l’art pragmatiste Alexander Dorner. Cette dernière aventure l’amène aujourd’hui à travailler une notion énergétique des langages plastiques, accordée aux exigences réalistes de l’esthétique, entendue comme théorie de la perception, et de l’ontologie « documentale » de l’œuvre d’art de Maurizio Ferraris, dont il a récemment traduit et préfacé Le Monde extérieur.

Enseigne la méthodologie de la recherche documentaire, basée sur l’épistémologie, la lexicographie artistique, l’heuristique, et les sciences de l’information. Spécialisé dans l’histoire du livre, des documents et des bibliothèques d’art (ouvrage numérique « Biblio Paradigme » publié aux éditions Publie.net)

Benoît Ménéboo est plasticien, venu de la photographie, il propose des créations multimédia où se mélangent les images fixes, animées et le son. Il est un arpenteur des nouvelles formes paysagères qui se déploient dans  les réorganisations des territoriaux ruraux et périurbains.

Son univers artistique se compose d'expérimentations variées par le biais de différents medium, d’artisanats parfois, de la sérigraphie à la céramique, de l'offset au verre. La transversalité et l'hybridation des différentes techniques qu'elle utilise visent à rendre tangible et à matérialiser la poésie des formes simples et des objets du quotidien.

Plasticien d’origine, il situe d’emblée son travail vidéo dans la continuité de sa pratique picturale, et développe dès ses premières oeuvres en 1986 le concept de Tableau-Vidéo. Son utilisation « impressionniste » du medium vidéo invite à une vision contemplative et poétique du monde, qu’il prolonge par ailleurs dans son activité d’écriture (essais, poèmes).

Passionné par les pratiques des outils numériques pour la production et l’informatique au sens large, il participe à la mise en place au sein de l’école d’un « Live Media », espace d’expérimentation et de recherche orienté vers la production « interactive » et « électronique ».

Depuis 25 ans, il se partage entre la musique (8 albums chantés ou instrumentaux, de nombreuses musiques de films), le son (réalisation artistique, ateliers de design sonore, mixage cinéma), l’écriture (biographies de musiciens chez Libris et Le Mot et le reste, rédactionnel pour Arte Concert) et la traduction (de l’anglais au français).

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Depuis 1990 il réalise un travail plastique où il est question du conflit entre la ligne et la couleur, décliné en peintures, estampes et livres d’artiste.

Au fil de son parcours, Guillaume Krick poursuit une recherche polymorphe engagée, inspirée des sciences humaines, d’études de terrain géographiques et comportementales. Les outils (la technologie) et leurs fonctions constituent un rôle central de sa réflexion.

Sigrid Pawelke est une conservatrice allemande et une historienne de la performance et de l'art, considérée comme l'une des principales expertes de la scène Bauhaus et de ses influences sur les arts en Amérique du Nord.

Nathalie Poisson-Cogez mène depuis plusieurs années des recherches sur la présence artistique en territoires au sein d’équipes pluridisciplinaires. Elle étudie la façon dont les artistes s’emparent de diverses composantes matérielles et des contextes de production artistique. Elle s'intéresse plus particulièrement au processus de création et aux dispositifs participatifs dans les contextes de résidences qui se situent à la croisée du champ artistique, du champ socio-culturel et du champ politique.

Depuis septembre 2015, elle développe le programme de recherche PRIST “Images, sciences et technologies”, qui met en œuvre des plateformes de rencontres et de co-créations entre artistes et scientifiques, par le biais de conférences, d’activités en laboratoire, d’expositions et de publications.

Son travail est caractérisé par des techniques mixtes sur différents supports, des œuvres peintes à l’huile, des encres sur papier xuan et des sculptures en bronze et céramique.

Gregg Smith’s work unfolds in layers, moving continuously between the inner psychic realm and immediate physical space.

Je travaille dans un jeu d'ambiguïté ludique, avec des situations fictives et des couches narratives, en ouvrant les possibilités et les contradictions du contenu, mais aussi les possibilités et les contradictions de la pratique elle-même.